L'Apec, via son programme Novapec, confirme son engagement en faveur de l'économie sociale et solidaire avec le soutien financier à plus de 20 nouveaux projets pour la 2ème vague de l’appel à projets 2025.  Ces initiatives régionales et multirégionales, complémentaires aux missions de l’Apec répondent aux enjeux actuels tels que l'accès à l'emploi, le développement des territoires et la transformation des métiers, des compétences et des recrutements à l’aube de la transition écologique.

Au National :

• Porté par l’Ascenseur, un collectif de près de 100 associations, le projet #GénérationAscenseur, aide des jeunes issus de zones de revitalisation rurale (ZRR) et de quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) à devenir acteurs de leur parcours professionnel et ambassadeurs de l’égalité des chances. Après une expérimentation réussie en Île-de-France, le projet se déploie désormais en Auvergne-Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur et dans les Hauts-de-France.

• Porté par Eloquentia, le projet De la parole à l’emploi renforce les compétences oratoires et la confiance des jeunes diplômés et des jeunes cadres afin de faciliter leur insertion ou leur reconversion professionnelle. Le dispositif souhaite se consolider dans les territoires où il est déjà déployé (Nanterre, Paris, Saint-Denis, Paris-Saclay, Marseille, Grenoble et Limoges) et se développer en 2026 à Créteil, Lyon, Rennes et Montpellier.

• Porté par l’association Comme les Autres, le projet Mentorat pour l’insertion accompagne les jeunes diplômés devenus handicapés moteurs suite à un accident pour leur permettre de recréer du lien social et de favoriser un accès durable à l’emploi. Des mentors, issus d’entreprises partenaires de l’association, accompagnent ces jeunes en Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne, Hauts-de-France, Île-de-France, Nouvelle-Aquitaine, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Pays de la Loire. 

• Porté par Vox Populi, le projet Club D&I accompagne des jeunes diplômés des QPV vers l’insertion professionnelle à travers un parcours intensif mêlant bootcamp, ateliers immersifs, accompagnement personnalisé, rencontres directes avec les recruteurs, créant un écosystème complet qui les prépare aux réalités du marché de l’emploi. L’initiative a débuté en Île-de-France et va se déployer progressivement dans les Hauts-de-France, puis en Auvergne-Rhône-Alpes, en Provence-Alpes-Côte d’Azur et en Corse.

• Porté par l’association Propulseo, le projet Propulser les jeunes diplômés des QPV et des ZRR, accompagne des jeunes diplômés issus de territoires fragiles en combinant bourse, mentorat et passerelles professionnelles pour sécuriser leurs études et favoriser leur insertion professionnelle. L’initiative se déploie en Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté, Centre-Val-de-Loire et Pays de la Loire.

• Porté par PhDOOC, le projet Dispositifs de pair-aidance en ligne et ouverts, pour la poursuite de carrière des docteur.e.s et doctorante.e.s est un dispositif de pair-aidance en format digital dédié aux doctorants et docteurs pour faciliter leur insertion professionnelle. Ce projet, à destination d’un public très spécifique qui connait souvent une phase de recherche d’emploi post-doctorat très complexe, se déploie en ligne et prévoit d’accompagner près de 8000 bénéficiaires.

• Porté par la Fédération Les Premières, le projet Switch accompagne les femmes cadres en transition professionnelle vers la reprise d’entreprise. Le programme favorise l’égalité femmes-hommes dans le domaine et contribue à la transmission d’activités et au dynamisme économique local. D’abord expérimenté en Provence-Alpes-Côte-D’Azur, il sera déployé en Île-de-France, Bretagne, Pays de la Loire, Nouvelle-Aquitaine, Auvergne-Rhône-Alpes et Corse.

• Porté par l’association apiDV, le projet ActifsDV accompagne les personnes aveugles ou malvoyantes vers l’emploi, le maintien en poste ou la reconversion professionnelle. Le programme est déjà déployé à Angers, Paris, Bordeaux, Lyon, Grenoble, Clermont-Ferrand, Nancy, Strasbourg et en Martinique et Guadeloupe. Il prévoit de s’étendre également à Lille puis à Marseille.

• Porté par DesCodeuses, le projet Tech the lead est un parcours de formation aux métiers du numérique pour des femmes issues de quartiers populaires afin de leur permettre d’acquérir des compétences techniques et d’accéder à des emplois d’encadrement dans la tech. Le projet vise à l’implantation des formations numériques en Auvergne-Rhône-Alpes tout en renforçant les implantations déjà existantes dans les Hauts-de-France, en Île-de-France, Bourgogne–Franche-Comté et Nouvelle-Aquitaine.

• Porté par la Convention des Entreprises pour le Climat (CEC), le projet Parcours Dialogue Social et Environnemental vise à rendre irrésistible la bascule vers l’économie régénérative avant 2030. Après 4 ans et des parcours engageant près de 1500 dirigeants, la CEC s'adresse aujourd'hui à tous les acteurs de l'entreprise. Le projet fédère les DRH, représentants du personnel et acteurs de l’emploi dans un parcours expérientiel d’un an, pour faire du travail et de l'emploi des questions indissociables de la transition écologique des organisations.

• Porté par Arcé Avenir Femmes, le projet Parcours Expertes accompagne les femmes cadres seniors confrontées à des difficultés de retour à l’emploi en leur proposant des ateliers collectifs, des webinaires et un accès à une communauté dédiée pour valoriser leurs atouts et faciliter leur réinsertion professionnelle. Le programme, déjà actif dans plusieurs régions (Hauts-de-France, Est, Île-de-France, Pays de la Loire, Normandie, Nouvelle-Aquitaine, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Corse) et prévoit l’accompagnement de 160 participantes sur 2 ans.

• Porté par l’association Sistech, le projet The Fellowship accompagne les femmes déplacées et déracinées dans leur insertion professionnelle vers les métiers du numérique en leur proposant un parcours structuré combinant orientation, mentorat et formations. Conçu pour lever les freins sociaux, linguistiques et professionnels auxquels ces femmes sont confrontées, le projet a été expérimenté pendant 2 ans en Île-de-France et sera déployé en 2026, en Auvergne-Rhône-Alpes et dans le Grand Est.

• Porté par Animafac, le projet Pro’Pulse accompagne l'insertion de jeunes diplômés dans l’économie sociale et solidaire en leur proposant un mentorat pair-à pair, des ateliers collectifs et des rencontres professionnelles inspirantes. Déployé dans plusieurs villes en Nouvelle-Aquitaine, Île-de-France, Hauts-de-France et Centre-Valde- Loire, le projet vise à sécuriser leur début de carrière et à renforcer leur intégration dans ce secteur.

• Porté par l’association Aidants et bien+, le projet Parcours Aidants et emploi, propose aux aidants d’identifier les compétences acquises avec ce rôle dans une démarche de remobilisation professionnelle. L’objectif est de les aider à retrouver confiance et à se remettre en action, afin de renouer avec une activité professionnelle en adéquation avec leurs besoins et leurs attentes. Cet accompagnement se déploie dans toutes les régions de l’Hexagone, en Corse, en Martinique et en Guadeloupe.

• Porté par La Ruche, le projet Transition Économie Circulaire est un programme pour aider les structures à impact souhaitant changer d’échelle à se préparer puis à se déployer. À travers un programme alliant esprit collectif et accompagnement individuel de 9 mois, La Ruche permet aux bénéficiaires d’étendre leur impact dans des conditions Après une expérimentation en Nouvelle-Aquitaine et déjà soutenue par Novapec en 2024, le dispositif est progressivement déployé en Île-de-France, Grand Est, Provence-Alpes-Côte-d’Azur et Corse.

En Hauts-de-France :

• Porté par l’association En Terre Happy, le projet En TERRE de Sens vise à accompagner les cadres, en priorité les femmes monoparentales, après un burn-out vers le retour à l’emploi. Le dispositif prévoit d’accompagner 4 jeunes diplômés et 16 cadres courant 2026 à travers un parcours intensif de six mois articulés autour d’ateliers collectifs, de coaching individuel, de pratiques psychocorporelles et d’immersions professionnelles. L’objectif est d’aider les bénéficiaires à retrouver confiance, redéfinir leurs priorités et renouer avec un emploi durable en phase avec leur parcours. Ce projet s’inscrit une démarche scientifique menée notamment en partenariat avec l’Université de Lille et l’hôpital PsyPro Lille spécialisé dans la souffrance au travail.

• Porté par l’association Parkour 59, le programme Cyclo Impact est un programme qui associe sport et formation pour favoriser l’insertion des jeunes issus des QPV dans le monde de la transition écologique. Le projet propose un coaching personnalisé et un parcours collectif innovant mêlant ateliers de réparation, actions de sensibilisation, événements sportifs et missions de conseil pour des entreprises souhaitant intégrer des pratiques de mobilité durable. Au-delà de l’insertion, Cyclo Impact crée un véritable espace d’apprentissage et de coopération autour des valeurs du sport, de la solidarité et de l’écologie, contribuant à la dynamisation économique et sociale de la ville de Roubaix.

• Portée par Emploi & Handicap Grand Lille, le projet Révélat’Heur a pour objectif d’accompagner des étudiants et jeunes en situation de handicap afin de sécuriser leur employabilité et favoriser leur insertion professionnelle. Le programme repose sur un suivi sur mesure mêlant simulations d’entretien, coaching individuel et rencontres avec des recruteurs. Cet accompagnement, déjà déployé auprès de l’Université de Lille et de l’Université Catholique de Lille, sera poursuivi, et mis en place auprès de nouvelles écoles comme Sciences Po Lille et Ynov (école spécialisée dans les métiers du digital). Révélat’Heur contribue à insérer durablement ces jeunes et à encourager « l’empowerment » des personnes en situation de handicap.

En Ile-de-France :

• Porté par la Ligue des Jeunes Talents, le projet Pack Emploi Logement est dédié aux jeunes demandeurs d’emploi, confrontés à la double difficulté de trouver un emploi et un logement accessible. Le dispositif propose un accompagnement global et individualisé, combinant ateliers de recherche d’emploi, accompagnement à la mobilité, coaching logement et suivi post-insertion. Il est essaimé dans les Hauts-de-Seine et le Val d’Oise, après un premier déploiement en Seine-Saint-Denis en 2023. Le programme vise à lever les freins matériels et psychologiques à l’emploi et à sécuriser les trajectoires professionnelles. L’association prévoit d’accompagner 100 nouveaux demandeurs d’emploi sur les 3 départements visés via une approche innovante pour sourcer des candidats qui ne fréquentent pas les structures traditionnelles du Service Public de l’Emploi.

• Porté par TYB Jobs, Impact Confiance est un programme d’accompagnement des jeunes diplômés, issus des QPV et des entreprises partenaires, en recherche de collaborateurs sur des métiers en tension. TYB Jobs demande aux entreprises partenaires leurs besoins pour ensuite former les candidats en fonction de leurs demandes. La structure s’allie avec HEC pour permettre aux jeunes d’obtenir une certification en plus de leur insertion professionnelle. En 2026, elle prévoit d’accompagner 200 jeunes au sein de 16 promotions différentes. Impact Confiance illustre ainsi une nouvelle manière de penser le recrutement, plus inclusive, plus ancrée dans les réalités économiques franciliennes, tout en renforçant la confiance professionnelle des jeunes diplômés accompagnés.

• Porté par l’Institut de l’Engagement, le projet S’engager pour rebondir, accompagne des jeunes diplômés Bac+3 et plus ayant interrompu leurs études ou connu un décrochage dans leur parcours universitaire. Le programme se déploie en trois étapes : une phase de remobilisation autour d’ateliers de développement personnel, une phase d’engagement via un service civique ou une mission bénévole de 2 à 3 mois, puis un accompagnement personnalisé vers la reprise d’études ou l’accès à l’emploi. En Île-de-France, l’objectif 2026 est d’accompagner 100 jeunes, dont au moins 15 % issus de quartiers prioritaires. Le programme fait de l’engagement un levier d’insertion durable, en redonnant confiance et des perspectives aux jeunes en quête de sens.

• Portée par l’association Universités & Réfugié.es (UniR), le projet Accompagnement à l’insertion professionnelle des réfugiés vise à accompagner des personnes réfugiés diplômés dans leur intégration professionnelle en Île-de-France pour prévenir le déclassement professionnel. Le programme repose sur un accompagnement combinant ateliers de valorisation des compétences, mentorat, coaching collectif et immersions en entreprise. Les bénéficiaires sont soutenus dans la reconnaissance de leurs diplômes, la compréhension du marché du travail français et la construction d’un projet professionnel durable. UniR prévoit d’accompagner près de 400 demandeurs d’emploi en 2026 ayant des diplômes allant du Bac+3 au doctorat et/ou ayant occupé un emploi cadre dans leurs pays d’origine.

En Centre-Val de Loire :

• Porté par EGEE, le projet Les Victorieuses est un accompagnement de six mois alliant mentorat, ateliers collectifs et mise en relation avec des entreprises partenaires pour favoriser le retour à l’emploi de 48 femmes. Parmi elle, 30% sont des cadres seniors. Déployé dans le Cher, le Loiret et la Seine-Maritime, le dispositif s’appuie sur un triptyque d’acteurs (demandeuses d’emploi, entreprises et mentors EGEE) coopérant pour répondre aux besoins individuels tout en s’inscrivant dans une dynamique collective.

En Pays de la Loire :

• Porté par La Manufacture du Blanc et le Centre On Purpose d’HEC Paris, le projet Équilibre vie pro-vie pro déployé en Ile de France et en Mayenne propose à des cadres en postes dans des ETI ou grandes entreprises qui cherchent à se réorienter sans rompre brutalement avec leur emploi, à redonner du sens à leur travail, ou à préserver un équilibre, en consacrant une partie de leur temps à une activité dans une TPE ou une PME en Mayenne, sans rompre leur contrat de travail initial. Il s’agit d’une solution innovante pour répondre aux enjeux de transition professionnelle des cadres, en majorité des cadres seniors, tout en renforçant les secteurs artisanaux et en tension. L’expérimentation, menée sur 15 mois, accompagnera 50 cadres, dont 40 seniors et 10 de moins de 30 ans, et mobilisera plus de 40 entreprises. Le projet ambitionne de permettre aux cadres de changer de voie professionnelle sans avoir à tout quitter.

En Grand-Est :

• Porté par la Maison de l’Autisme de Mulhouse, le projet Tremplin vers l’autonomie soutient l’insertion professionnelle des jeunes adultes autistes, cadres ou diplômés de l’enseignement supérieur. Le programme repose sur la théorie de l’autodétermination, qui valorise la motivation, l’autonomie, la compétence et le sentiment d’appartenance sociale. À travers des ateliers collectifs, un mentorat individualisé et la sensibilisation des entreprises au handicap, le projet favorise le développement des compétences sociales et professionnelles des participants, tout en créant un environnement de travail plus inclusif au sein des entreprises locales.

• Porté par le CIS-DT 52, le projet Boostes Ton Job accompagne les jeunes diplômés et les personnes en reconversion vers l’emploi, grâce à des ateliers, du mentorat et des rencontres avec les entreprises. Le dispositif vise à lever les freins à l’insertion (manque de réseau, perte de confiance, méconnaissance du marché local) et à valoriser les compétences disponibles sur les territoires ruraux et moins attractifs du Grand Est, notamment autour de Saint-Dizier, Chaumont, Verdunet Commercy. L’initiative s’appuie sur un écosystème de partenaires économiques, associatifs et institutionnels pour favoriser des rencontres entre employeurs et candidats et renforcer la coopération locale autour de l’emploi. L’association prévoit d’accompagner près de 100 demandeurs d’emplois en 2026 sur les 4 territoires cités.

En Auvergne-Rhône-Alpes :

• Porté par Alter’Actions le projet Conseil Solidaire, propose à des binômes de cadres et à des équipes d’étudiants de mettre leurs compétences au service de structures de l’ESS à travers des missions de conseil de 4 mois. Ces missions permettent d’aider les organisations accompagnées à consolider leur modèle économique et développer leur stratégie dans une perspective de durabilité. Pendant 4 mois, les équipes réalisent des missions de conseil sur des sujets concrets : stratégie, financement, communication ou transition écologique. Le dispositif crée un espace d’apprentissage partagé, où les jeunes découvrent les métiers de l’ESS et où les cadres mettent leur expérience au service d’initiatives porteuses de sens.

En Occitanie :

• Porté par l’UCRM, en partenariat avec le MEDEF Haute-Garonne et l’association NQT, le projet Innov’Cadres, est un programme de 8 semaines mêlant suivi individuel et collectif autour d’ateliers de coaching, de valorisation de l'image professionnelle, de sensibilisation à la création d'entreprise, de techniques de recherche d’emploi... Le projet adopte une approche globale de l’insertion professionnelle, en intégrant la prise en compte des freins périphériques tels que la santé ou le logement, susceptibles de compromettre la recherche ou la pérennisation d’un emploi.

En Provence-Alpes-Côte d’Azur et Corse :

• Porté par l’association Compter sur Demain, le projet Bourses Rêves d’Avenir agit en faveur de l’égalité des chances et de l’accès aux études supérieures pour les jeunes de 16 à 25 ans issus de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE). Le programme combine un soutien financier durable et un accompagnement personnalisé sur le temps long, de 6 mois à 3 ans, afin d’aider ces jeunes à construire leur parcours académique et professionnel jusqu’à leur premier emploi. Présent en Provence-Alpes-Côte d’Azur et en Île-de-France, le dispositif prévoit d’accompagner 66 jeunes via un suivi social, des ateliers collectifs et une préparation concrète à l’entrée sur le marché du travail. L’objectif est de permettre à des jeunes sans réseau ni soutien de concrétiser leurs ambitions.

• Porté par Entrepreneurs pour la Planète, le projet Campus Vert Demain sensibilise et former 40 demandeurs d’emploi – cadres en recherche de longue durée, jeunes diplômés, seniors et habitants des quartiers prioritaires – aux métiers de la transition écologique. Déployé à Marseille et Toulon, le programme repose sur une approche de “reverse mentoring” : former les demandeurs d'emploi aux enjeux environnementaux et les connecter à des chefs d’entreprise engagés pour encourager les échanges de compétences et la co-construction de solutions durables. En accompagnant ces bénéficiaires dans leur acculturation aux enjeux environnementaux, l'objectif est de créer une véritable dynamique d’échanges entre porteurs de projets à impact et chefs d’entreprises engagés.

Avec un budget de 4M€ en 2025, Novapec aspire à renforcer des projets, nouveaux ou existants, portés par des acteurs de l’ESS dans toute la France, et complémentaires aux actions de l’Apec.